la femme qui perd ses jarretières

une comédie d’Eugène Labiche
mise en scène et musiques : Philippe Roux
avec : Magali Faure, Philippe Roux, Jean-Luc Voyeux

 le pitch

Laverdure est un ancien domestique devenu rentier grâce au testament de son ancien maître. Mais il s’ennuie. Il décide d’engager Gaspard « la plus grosse bête du Morvan » comme groom, et de le former. L’arrivée de Fidéline, dont il est tombé éperdument amoureux va semer la zizanie.
Labiche nous gratifie d’un vaudeville hilarant où se mêlent amour, trahison, soumission, amitié, revisité dans un cocktail pop rock !

 la bande annonce

 l’équipe artistique

Philippe Roux - <i>metteur en scène et Laverdure</i>

Philippe Roux – metteur en scène et Laverdure

Après avoir chanté dans de nombreux groupes de rock, il débute au théâtre dans Tueur sans gages d’Eugène Ionesco, puis fait partie de l’école de théâtre de l’Albatros dirigée par René Bocquier. Dès lors, il ne quitte plus les planches et enchaîne tous les styles : le classique –Le Malade imaginaire m.e.s Daniel Leduc au théâtre du Gymnase, Le Misanthrope m.e.s Nicolas Liautard à La Scène Watteau–, le théâtre de rue avec la Cie Fabrique à Spectacles, la comédie –Une Intérim d’enfer m.e.s Didier Caron à La Comédie de Paris, Le Coach m.e.s Bruno Bachot au Mélo d’Amélie–, le jeune public –Le petit chaperon rock, le théâtre Astral–, et la tragédie grecque avec Ajax de Sophocle m.e.s Nicolas Liautard.
Philippe met aussi en scène ses propres spectacles : CourteLine folie’s au Théo théâtre, et La femme qui perd ses jarretières d'Eugène Labiche , dont il a aussi composé les musiques sa deuxième passion.
Magali Faure - <i>Fidéline</i>

Magali Faure – Fidéline

Magali a suivi une formation au sein de l'école de théâtre L' Éponyme puis aux conservatoires du 19ème et 20ème arrondissements de Paris sous la direction de Pascal Parsat et Michel Armin. En 2013, elle intègre la Compagnie de la Dandinière pour laquelle elle joue dans Les aventures de Gabilolo (spectacle jeune public) et Feu la mère de Madame m.e.s Jeremy Martin. On la retrouve également dans diverses pièces de café théâtre, entre autres : Le journal de Brigitte Jaune de Pierre Leandri et Élodie Wallace m.e.s Nathalie Vierne, ou encore Après le mariage les emmerdes m.e.s Sophie Depooter au théâtre de la Grande Comédie à Paris.
Jonathan Pinto-Rocha - <i>Gaspard</i> en alternance

Jonathan Pinto-Rocha – Gaspard en alternance

Formé deux ans au métier de comédien à l'École de théâtre parisienne L’Éponyme, chanteur et musicien autodidacte, il incarne depuis 2011 le Génie de la lampe, dans Aladin de Jean-Philippe Daguerre, et se produit dans des salles de la capitale (Théâtres des Variétés, Théâtre du Palais-Royal, Théâtre du Gymnase...), ainsi que partout en France. Son tempérament scénique et sa passion du chant lui valent, entre autres, de décrocher en 2014, le rôle de Papageno dans La Flûte enchantée, adapté musicalement pour le théâtre par Petr Ruzicka et mis en scène par Jean-Philippe Daguerre au Théâtre des Variétés. Il joue en 2011 dans le court-métrage Casse-gueule, réalisé par Clément Gonzalez, qui obtient un prix spécial du jury pour la totalité de la distribution, le prix du public et le prix du meilleur film aux festivals 48 Heures Film Project Paris et P’tit Clap Levallois. Il rencontre à cette occasion Simon Astier qui lui propose amicalement un rôle dans la troisième saison de sa série Hero Corp en 2013. En 2012, il participe à nouveau au festival 48 Heures Film Project, dans le court-métrage de Clément Gonzalez, Du sable dans les pompes, qui obtient le prix du public et le prix de la meilleure distribution. Depuis décembre 2015, il incarne le maître à danser et Covielle dans Le Bourgeois gentilhomme, mis en scène par Jean-Philippe Daguerre au Théâtre Michel. Il interprète également le rôle d’Olivier en alternance avec Olivier Martin-Salvan dans Bigre depuis mai 2016.
Jean-Luc Voyeux - <i>Gaspard</i> en alternance

Jean-Luc Voyeux – Gaspard en alternance

Après avoir suivi les enseignements de Michel Granvale et de Jean Darnel, il poursuit sa formation à l’Atelier international de théâtre Blanche Saland & Paul Weaver. Dirigé par entre autres par Nicole Gros, Olivier Leymarie, Marie Rémond, il aborde le théâtre de boulevard –Feu la mère de Madame, Un fil à la patte de Feydeau–, les classiques –La commère de Marivaux, La nuit des rois de Shakespeare, Dom Juan ou Le bourgeois gentilhomme de Molière–, mais aussi les contemporains –Les règles du savoir-vivre de Jean-Luc Lagarce, Les petits mélancoliques de Fabrice Melquiot, Fallait rester chez vous têtes de nœud de Rodrigo Garcia.
Parallèlement il enrichit son univers artistique en pratiquant chant lyrique (ténor) et danse classique, ce qui lui permet d'intégrer la distribution de Cabaret la Chatte bleue, pièce musicale écrite et mise en scène par Guillaume Ollivier Berno.
note d'intention du metteur en scène
Ce qu’il y a de plus important au théâtre, ce sont les auteurs. Eugène Labiche fait partie des plus grands. Il est le maître absolu de la comédie et du vaudeville. Pourquoi avoir choisi La Femme qui perd ses jarretières qu’il a écrite avec Marc Michel, parmi ses 176 pièces ? Celle-ci est un concentré du génie de Labiche. Son comique de situation me fait penser aux vieux films en noir et blanc de mon enfance. Mes idoles, qui sont Charlie Chaplin, Buster Keaton, les Marx Brothers et Jacques Tati ont dû lire Labiche, c’est une évidence.
Les grands auteurs sont universels, ils traversent les siècles et restent modernes. Chacun peut s’identifier à l’un des protagonistes de ce triangle amoureux. Cette piéce est un bonbon emballé dans de la dentelle. Un théâtre de fête, de champagne et de feux d’artifices.
J’ai eu beaucoup de plaisir aussi à composer la musique de ce spectacle. Un vaudeville sans chanson n’est pas un vaudeville. Il y en a onze, qui apportent une respiration et une poésie. Je me suis inspiré de la musique pop-rock, de Iggy Pop aux Beatles. Et enfin, pour ajouter une passerelle entre le 19e et 21e siècle, j’ai choisi une scénographie pop-art très en couleurs, comme les costumes.

 la presse

Vaudeville hilarant revisité par Philippe Roux. On y retrouve tous les ingrédients de ce genre théâtral : quiproquos, expressions d’époque qui fusent, portes qui claquent. Les comédiens entrent, sortent, s’agitent et s’énervent. Les rebondissements se multiplient. Le tout entrecoupé d’un original et inattendu cocktail de chansons pop-rock. Les mimiques de Gaspard, les grimaces de Laverdure et la folie de Fidéline emportent le public dans cet univers joyeux et coloré.
L’Écho Républicain

Chartr'Estivales 2019

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Chartr'Estivales le 15 juillet 2019
Théâtre Portail Sud à Chartres

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du 7 au 16 juin 2018
Showcase à Paris

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le 3 juin 2018, création de la pièce à l'Alambic Comédie, Paris

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